Paysages du Grand Paris, 2010-2012
« Quel serait le sujet choisi par Marville à l’heure de la rénovation urbaine et de la patrimonialisation des grands ensemble ? (...) Les tours des grands ensembles en destruction s’effondrent dans les champs, La banlieue parisienne tire sa beauté de la coagulation des époques et de ses ardentes contradictions. Les photographies cherchent à exprimer l’intensité des espaces interstitiels, et, finalement, le renversement possible du plein et du vide. »